Vue du chateau de Vierbe entre sambre et meuse
Détails
Auteur(s), créateur(s), collaborateur(s): | Leloup, Remacle (1694-1746) (illustrateur) |
Création de l'objet original: | [1738?] 18e siècle Temps Modernes (1492-1789) |
Lieu de conservation de l'objet original: | Ville de Liège - Fonds patrimoniaux |
Langue de l'objet original: | Indéterminée |
Résumé: | Château de Vierves appartenant à la principauté de Liège. Entité de Viroinval. |
Matériau, support de l'objet original: | Papier |
Technique: | Dessin à la plume |
Dimensions, durée ou poids: | 194 X 307 mm |
Description physique de l'objet représenté: | Dessin à la plume à l'encre noire. Traces de mine de plomb. Lavis gris clair à moyen. Encadrement à la plume à l'encre noire. Mention du titre à l'encre noire en haut de page à l'intérieur de l'encadrement. |
Description: | Griffe "BCLg" dans le coin supérieur droit. Cachet "Bibliothèque centrale Liège" au verso Petites taches noires et souillures |
Lieu géographique représenté ou évoqué: | Viroinval (Belgique) |
Mots-clés: | Châteaux -- Viroinval (Belgique) -- 18e siècle; Dessin; Viroinval (Belgique) -- Château de Vierves -- 18e siècle; Vues topographiques -- 18e siècle; Dessins de Remacle Leloup |
Discipline(s): | Arts & sciences humaines => Art & histoire de l'art Physique, chimie, mathématiques & sciences de la terre => Sciences de la terre & géographie physique |
Ressource(s) liée(s) à l'objet original: | Catalogue des Fonds patrimoniaux de la Ville de Liège - https://collections.liegemusees.be/ark:/12345/00168658 Les Délices du Païs de Liège, ou Description géographique, topographique et chorographique des monumens sacrés et profanes de cet Evêché-Principauté et de ses limites [...] (T. II, p. 291). Liège, Everard Kints. - https://hdl.handle.net/2268.1/989 |
Fait partie du: | Domaine public |
URL permanente: | https://hdl.handle.net/2268.1/13952 |
Ville de Liège - Fonds patrimoniaux: | Identifiant: 68658 Code-barres/N° inventaire: 1000127041465 Cote: Leloup D II.291 |
Présentation scientifique
Leloup écrit en toutes lettres avec une curieuse orthographe le nom de la rivière qui traverse ce village dispersé « en figure de croissant » : virouvin riviere. Il dessine très bien le pont à sept arches, comme les maisons, le moulin sur un bief du Viroin et l’église. Le relief accidenté est perceptible sur la composition particulièrement équilibrée. L’ordonnance des bâtiments rend avec finesse l’impression du village blotti au pied de son château.
Cette propriété de la famille de Hamal jusqu’en 1852 a des allures de forteresse. L’observateur repère aisément les « restes antiques d’une tour ». Une autre grosse tour est représentée de façon aussi réaliste que possible. : une toiture en forme de cloche surmontée
d’ une haute guette octogonale puis d’un épi. Cette composition prouve sans aucun doute que Leloup exécute ses dessins in situ à la mine de plomb.
En dépit d’une position difficile sur les escarpements du Viroin, les jardins décoratifs bénéficient des murs d’enceinte qui abritent le bassin circulaire au centre.
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